His name is " I AM "
                          Exodus 3:13-14
 
 CHRIS
 

Dear brothers and sisters,

This site has been created in conjunction with our radio broadcasts that are available every Wednesday on Radio Ivyizigiro (Mhz 90.9 / Mhz104.8). The radio can be followed live on www.woi-ivyizigiro.org at 7:00 pm (Burundi) / 5:00 pm (GMT). Through this site we want our listeners to have access to additional teaching resources- audio as well as manuscript.

 

Bonjour frères et sœurs,

Ce site est crée suite à l’émission-radio qui passe tous les mercredis sur la radio Ivyizigiro (Mhz 90.9 / Mhz 104.8) à 18h55 afin de permettre aux auditeurs d’avoir accès à mes enseignements soit par des enseignements Audio ou des textes écrits.

 

 

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Qui peut toujours bénir l’Eternel ? (Sixième partie)


Verset du jour : Genèse 27 :4 « Fais-moi un mets comme j'aime, et apporte-le-moi à manger, afin que mon âme te bénisse avant que je meure »


Le verset du jour nous parle d’Isaac qui avant de mourir a informé son fils Esaü que le moment de le bénir était arrivé d’où il lui a posé une condition avant de le bénir ; Il lui a demandé de lui apporter d’abord à manger afin que son âme le bénisse. Cela ne veut pas dire qu’Isaac n’avait pas à manger car normalement il était servi par sa femme ou ses serviteurs selon sa culture, mais il tenait à ce qu’il soit servi par son fils dans le seul but de le bénir à son tour. Ce verset reflète nettement le caractère de notre Dieu. Il veut nous bénir mais pose une simple condition : « Bénis moi d’abord afin que je te bénisse »

Si vous avez suivi cet enseignement depuis le début, vous avez compris que nous pouvons bénir le Seigneur de plusieurs manières mais cette fois-ci nous découvrons que non seulement il veut être béni mais il préfère être béni avant de nous bénir. Par-là vous comprenez que celui qui parvient à toujours bénir le Seigneur sera naturellement toujours béni par lui.


Avant de terminer, parlons-en peu du roi David. Il bénissait beaucoup l’Eternel et profitait de son pouvoir en tant que roi pour influencer toute l’assemblée à bénir l’Eternel. Examinons le verset suivant : « David dit à toute l'assemblée: Bénissez l'Éternel, votre Dieu! Et toute l'assemblée bénit l'Éternel, le Dieu de leurs pères. Ils s'inclinèrent et se prosternèrent devant l'Éternel et devant le roi » (1 Chronique 29 :20). David a demandé à toute l’assemblée de bénir leur Dieu. Le verset nous montre comment ils ont béni l’Eternel : « Ils s'inclinèrent et se prosternèrent devant l'Éternel ». Par là nous comprenons que s’incliner et se prosterner devant l’Eternel est un acte d’adoration qui le bénit. En fait l’important n’est pas de se courber ou s’incliner, mais c’est l’état d’esprit avec lequel on le fait. Dieu tient à ce que nous nous inclinions dans nos cœurs pour le bénir. Il veut que nous atteignions le niveau de dire comme Jésus : « Toutefois, que ma volonté ne se fasse pas, mais la tienne » (Luc 22 :42). J’insiste sur « Toutefois » car cela veut dire que notre volonté n’est pas nécessairement conforme à celle de Dieu mais nous devons développer une attitude selon laquelle notre volonté doit mourir afin de céder à celle de Dieu. On ne pourra pas toujours bénir l’Eternel aussi longtemps qu’on se cramponne sur notre position. Celui qui veut bénir le Seigneur doit apprendre à lâcher quelque chose pour ensuite recevoir de Lui.


Je vous souhaite un week-end béni et à lundi prochain

Enseignement biblique : Qui peut toujours bénir l’Eternel ? (Cinquième partie)


Verset du jour: Matthieu 3 :17 « Et voici, une voix fit entendre des cieux ces paroles: Celui-ci est mon Fils bien-aimé, en qui j'ai mis toute mon affection »


Tout parent vous dira qu’il aime tous ses enfants de la même façon mais en réalité il y’a celui qui le béni plus que les autres. Tous ses enfants sont aimés mais dans le cœur du parent il y’a une voix cachée qui dit : « celui-ci (celle-ci) est mon fils (ma fille) bien-aimé ». Généralement, un enfant qui plait au parent est celui qui lui obéit le plus. Il peut être le plus beau ou le plus sympathique mais aussi longtemps qu’il n’est pas obéissant, il ne peut pas bénir ses parents. Il en est de même pour Dieu et ses enfants ; Il est toujours plus béni par ceux qui lui obéissent que ceux qui ne font que l’adorer ou le servir. On peut passer plus de temps dans la louange et l’adoration sans obéir au Seigneur. Tout ce que tu peux faire dans le but de plaire au Seigneur n’a pas beaucoup d’importance aussi longtemps que tu n’obéis pas à sa Parole. La bible dit clairement que l'obéissance vaut mieux que les sacrifices (1 Samuel 15 :22)

Le verset du jour (Matt 3 :17) nous montre à quel point Jésus bénissait le cœur de Dieu. Juste après être baptisé par Jean-Baptiste, une voix est sortie des cieux pour dire : « Celui-ci est mon Fils bien-aimé, en qui j'ai mis toute mon affection ». Dieu avait beaucoup d’affection pour Jésus à cause de son obéissance totale. Bien sûr que Dieu a de l’affection pour nous grâce à Jésus mais nous ne pouvons pas prétendre le bénir en persévérant dans la désobéissance. Toutes les qualités que tu peux avoir aux yeux de Dieu devraient venir après l’obéissance. Un chrétien qui bénit toujours l’Eternel est celui qui ne cherche qu’à lui plaire et rien que lui plaire. C’est celui qui se lève le matin et dit à Dieu : « Je suis entièrement disponible pour toi ».


Quand Dieu donne ou révèle sa position, Il veut l’exécution immédiate sans aucune discussion ou raisonnement. Il veut que nous réagissions comme Abraham à qui Il a demandé de sacrifier son fils unique qu’il aimait beaucoup alors que la promesse disait qu’il ferait de lui une grande nation (Genèse 21 :12). Abraham avait de bonnes raisons pour discuter avec Dieu ; Il pouvait lui demander : « Comment peux-tu me demander de sacrifier mon fils unique alors que tu m’as dit que c’est par lui que sortira un peuple nombreux ? » Mais Abraham craignait Dieu et plus encore, il lui faisait entièrement confiance. Il savait au fond de son cœur que Dieu ne peut jamais dire une chose sans y avoir réfléchi. Les moments difficiles sont également une opportunité pour bénir l’Eternel en manifestant notre confiance malgré la situation terrifiante. La confiance touche sérieusement le cœur de Dieu.


On conclura demain en parlant de la condition pour être béni par Dieu.

Qui peut toujours bénir l’Eternel ? (Quatrième partie)


Verset du jour : Romains 12 :1 « Je vous exhorte donc, frères, par les compassions de Dieu, à offrir vos corps comme un sacrifice vivant, saint, agréable à Dieu, ce qui sera de votre part un culte raisonnable »


Hier on a parlé de la première condition (a) du corps pour qu’un culte soit raisonnable et aujourd’hui on parlera de la deuxième et de la troisième :

 b. Il faut que le corps soit un sacrifice saint.

Un sacrifice saint veut dire un sacrifice mis à part ou consacré à Dieu. Pendant longtemps j’ai toujours cru que Dieu s’intéresse uniquement à mon esprit mais j’ai finalement compris que même mon corps compte. Un corps ne peut pas être offert comme un sacrifice saint pour Dieu d’un côté et être utilisé pour plaire à la chair d’un autre. Un corps saint n’est pas utilisé pour n’importe quoi car s’il est sacrifié pour Dieu, il est sensé l’honorer. Souvent j’entends ceux qui disent : « c’est mon corps et j’en fais ce que je veux » mais la bible nous dit que notre corps est le temple du Saint-Esprit (1 Cor 6 :19). La bible dit aussi : « Que le Dieu de paix vous sanctifie lui-même tout entiers, et que tout votre être, l'esprit, l'âme et le corps, soit conservé irrépréhensible » (1 Thess 5 :23). Donc pour qu’un culte soit raisonnable, il faut que le corps soit sanctifié.


c. Il faut que le corps soit un sacrifice agréable à Dieu.


Toujours selon le verset du jour (Rom 12 :1), pour qu’un culte soit raisonnable, il faut que le sacrifice soit agréable à Dieu. On a déjà dit que dans d’autres traductions le culte est traduit comme un acte spirituel d’adoration. A chaque fois que tu entres dans la prière, tu poses un acte qui est considéré comme un culte devant Dieu. Cependant, plus loin dans le livre des hébreux, on précise de quelle nature le culte doit être : Il est dit : « … montrons notre reconnaissance en rendant à Dieu un culte qui lui soit agréable avec piété et avec crainte » (Hébreux 12 :28).

Le culte doit être un culte qui lui soit agréable et si le culte lui est agréable, ça veut dire que le sacrifice l’est également.

La grande question est celle de savoir comment est le sacrifice qui lui est agréable ? La réponse se trouve dans le même verset (Heb 12 :28) : Le sacrifice qui est agréable à Dieu est accompagné par la piété et la crainte. On ne peut pas prétendre bénir l’Eternel sans la piété et la crainte. On peut avoir une faiblesse quelconque mais Dieu veut voir avant tout de la crainte.


Dans la méditation de demain, on découvrira une autre condition fondamentale pour être capable de toujours bénir l’Eternel. Bonne méditation

Qui peut toujours bénir l’Eternel ? (Troisième partie) 


Verset du jour : Romains 12 :1 « Je vous exhorte donc, frères, par les compassions de Dieu, à offrir vos corps comme un sacrifice vivant, saint, agréable à Dieu, ce qui sera de votre part un culte raisonnable »


Le verset du jour renferme beaucoup de révélations en même temps. D’abord il nous exhorte à offrir nos corps comme un sacrifice vivant. Je ne sais pas s’il t’arrive d’offrir ton corps à Dieu comme un sacrifice car ici on ne parle pas du corps spirituel mais physique. Offrir son corps comme un sacrifice, c’est accepter de tuer quelque chose qui plairait à la chair rien que pour bénir l’Eternel.

Le verset précise qu’il ne suffit pas de donner un sacrifice mais il faut que le sacrifice soit vivant, saint et agréable à Dieu. Le sacrifice remplissant ces trois conditions sera appelé (selon le verset du jour) « Un culte raisonnable ». La bible anglaise NIV parle d’un acte spirituel d’adoration (A spiritual act of worship). Nous savons tous que l’acte d’adoration se fait normalement au niveau de l’esprit mais cette fois-ci on nous parle de l’adoration fait par le moyen du corps physique.

J’aimerais qu’on parle séparément des trois conditions du corps pour qu’un culte soit raisonnable :

a. Il faut que le corps soit un sacrifice vivant.

Le sacrifice peut se définir comme un renoncement ou un abandon volontaire. La chose sacrifiée ne doit plus être réclamée ou protégée car à partir du moment où on sacrifie une chose, elle ne nous appartient plus. Si nous sacrifions notre corps pour Dieu, cela veut dire qu’on l’abandonne pour Lui plaire. Dans l’ancien testament, on tuait des animaux mais on ne tuait pas n’importe lesquels car la valeur du sacrifice dépendait de celle de l’animal pour celui qui le sacrifiait. Personne ne pouvait oser offrir en holocauste un animal mort. L’animal devait être vivant avant d’être égorgé par les sacrificateurs. Dieu réprimandait ceux qui offraient en sacrifice une bête aveugle, une boiteuse ou infirme (Malachie 1 :8).

Aujourd’hui nous sommes dans le nouveau testament et Dieu ne nous demande pas de sacrifier des animaux mais il nous demande de sacrifier nos corps. Sacrifier ton corps pour Dieu veut dire le rendre disponible pour prier et servir Dieu dans le seul but de l’obéir et le plaire. Souviens-toi que le sacrifice doit être vivant, ce qui veut dire que tu ne dois pas nécessairement prier ou servir Dieu quand cela te plait. Tu ne dois pas attendre le moment idéal ou confortable pour adorer ton Dieu sinon on ne parlerait pas de sacrifice vivant. Quand le matin tu n’as pas envie de quitter le lit pour entrer dans la prière, c’est exactement comme un bélier qui refuse d’avancer pour être égorgé. C’est le cri de l’animal qui donnait la valeur au sacrifice. Si tu parviens à avancer et entrer dans la prière malgré la résistance de la chair, tu serais en train de le bénir.

A suivre demain matin…

               
         
               

Ikiganiro Ishimwe

Radio Ivyizigiro FM 90.9 - 104.8

Kuwa Gatatu Isaha imwe (19h)

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